Être ou ne pas être, telle est la question
Être ou ne pas être, telle est la question
Est le plus courageux pour supporter
un souffle sort dégoûtants et des flèches,
ou bien à s'armer contre une mer de douleur
et tuez-les de manière décisive?
À mourir - dormir, pas plus,
et croient que le sommeil met un terme aux maux de coeur,
le choc que la chair a reçu un héritage -
ce serait une fin, une miséricorde pour toujours prier.
Mourir, dormir ... dormir, rêver peut-être
-Oui, c'est la pierre d'achoppement!
Quels rêves donne le sommeil de la mort;
quand nous avons jeté nous tous l'agitation
et couper la corde d'ancrage de la vie?
Le réservoir ne nous arrête, et c'est le
qui rend la vie misérable souci à ce jour.
Qui devrait assumer flagellation du monde,
tyran excès, l'insolence, stoltes
méprisé l'amour, la douleur et la loi d'inertie?
Un horriblement fonctionnarisme et coups de pied odågan donne
le mérite robuste?
Qui pouvait tolérer la vie
s'il pouvait se débarrasser de
tout cela seulement avec un poignard? "
Qui prendrait sur les charges
et gémir et suer sous le joug de la vie,
à moins que nous craignions quelque chose après la mort,
le pays inconnu
de la frontière de ce qui ne l'a retourné?
Il paralyse la volonté,
et plutôt que nous portons nos plaies habitués
que de fuir à d'autres que nous ne connaissons pas.
La voix intérieure qui nous rend tous des lâches.
L'amour est si déterminé d'une peau saine
dans le réservoir après avoir violé pâleur plus,
et des affaires de la plus haute importance et d'évasion
peut tomber à plat et perdent le nom de l'action. "